à propos de l'histoire du canal du panama.Particulierement,à propos de la contributon des guadeloupéeens et martiniquais appelés en masse à venir travailler à sa contruction!
Cette manifestion accueillait à la magnifique residence departementale,Leonardo SIDNEZ un panaméen d'origine guadeloupéeenne t je serais tentée de dire un guadeloupéen qui est né et a vecu au panama tant sa guadeloupéeanité est ancrée en lui...
Il nous a fait un témoignage de son attachement pour son ile d'origine et sait meme à quelle famille il appartient en guadeloupe...
Imaginez que nous allions en afrique et que nous trouvions notre famille d'origine!!!

il parle creole et le comprend parfaitement avec un fort accent espagnol
et nous apprend qu'au panama des associations d'antillais sont présentes et cultivent la culture d'origine,une stèle sur la "place de france" est dédiée aux 22 000 morts guadeloupéeens et martiniquais!
Leonardo dit vouloir entrer en collaboration avec nos iles et pouvoir feter en 2014 le centenaire de la contruction du canal et la commémoration aux mort avec nous!
il se veut guadeloupéen et pas français,ce qui nous pousse à nous revoir identitairement ,nous qui sommes constament tournés vers la france!
Comme l'a souligné julien merillon :
Qu'est ce qu'etre guadeloupéen sans etre français,si leonardo se pense comme tel c'est que plus que les gens ne le crois etre guadeloupéen signifie quelque chose en soit et suit manifestement des génération immigrées dans des pays lointains qui parlent une toute autre langue!
En bref,l'amitié entre les desecdants de guadeloupéens au panama et les "native" est scellée et que ça dure longtemps!!!
Un livre pour en savoir plus:
GUADELOUPÉENS ET MARTINIQUAIS AU CANAL DE PANAMA
Histoire d'une émigration
Joseph Jos
HISTOIRE MONDE CARAàBES
Les 22000 morts antillais, martiniquais et guadeloupéens du "Canal Français" ajoutés aux milliers d'autres du "Canal Américain", sont entrés au panthéon de Panama. Mais pour leur pays, ils piétinent aux portes du souvenir. L'histoire de France, en effet, n'a retenu de cet exploit technologique que le nom de Ferdinand de Lesseps, le scandale financier qui a secoué la société française et la réalisation finale américaine. Mais elle en a ignoré les artisans qui, par dizaines de milliers, dès 1851, partirent en vagues successives de Guadeloupe et de Martinique vers la voie transocéanique à percer.

